mardi 1 mars 2011

  • C'est décidé, et officiel : Je déteste le tweed et tout ce qui peut s'en apparenté. Je déteste également le velours et les motifs jacquard...
Et que cela vous étonne, mais ce n'est rien d'autre que la Fashion week de Londres qui est venue réveiller mes anciens démons. Tandis que des silhouettes défilent par centaine, le tweed guette jusqu'à son apparition presque farouche sur un modèle proposé par la maison Pringle of Scotland. Rien de bien méchant, mais cela suffit à annoncer un avis de tempête ; rien de moins, rien de plus.
La dure loi du monde de la mode...
Le tweed me fait frémir, et vient me rappeler, malgré sa très nette évolution ; les pièces cintrées de nos chères grand mères ayant un fort penchant pour l'attrape poussière. C'est la monotonie assurée, la fin du fun, le coup de grisou ! En parlant de monotonie, le velours lui aussi tient une place chez Margaret Howell, qui nous offre une veste lie-de-vin, superposée à un look "Made in Utah"...
Malgré une admiration grandissante que je porte à ces créateurs, l'évocation du tweed et de velours ( de surplus côtelé ) suffit à me faire oublier mes bonnes résolutions.
Fort heureusement que la "London Fashion week" ne se résume pas à mon aversion envers ces matières, non, et encore non !
  • J'ai d'ailleurs eus l'occasion de découvrir de nombreux designers, qui ont fait battre mon cœur tel que Irwin and Jordan, dont je n'ai pas résisté à la tentation de vous faire partager ces quelques looks qui m'ont charmés de par leur esthétique mêlant avec "puissance" une mode efficace à une simplicité "épatante".





  • Autre coup de cœur d'un tout autre registre : Holly Fulton.
Chez elle ce ne fut pas les silhouettes dans leur totalité qui provoquèrent une extase chez moi, mais plutôt un look auquel je voue une admiration presque inexpliquée...Tranchant et doux à la fois, il possède un je ne sais quoi qui accroche mon œil.
A première vue, il surprend puis attendrit.
Son ingénieux mélange de cuir, de clous, de noir et de couleurs qui dans leur finalité sonne assez nude, donne un aspect cosmique à la silhouette toute entière.
Comme un croisement entre une princesse des milles et une nuits, et une Alice Dellal plus rock que jamais.

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